Les invitées

Jocelyne Garcia

Après avoir vécu à Berlin et enseigné l’Allemand à Paris, Jocelyne Garcia se consacre entièrement à la photographie.

Elle s’est très tôt intéressée à l’art contemporain et a suivi pendant deux ans les cours du Louvre. Son travail est affilié à la photographie plasticienne et n’a d’autre lien avec la photographie classique, que le fait qu’elle utilise un appareil photo.

Elle met en scène l’univers féminin dans tous ses états, un univers pluri-elles aux références pluriculturelles.

Ses photos sont élaborées à l’aide d’un logiciel de traitement d’images où l’utilisation de motifs et de textes apparaissent comme des éléments picturaux récurrents et contribuent à la spécificité de son travail.

Un prix pour sa créativité lui a été décerné à la Foire Internationale de la photo de Bièvre, en juin 2010.

Laurianne Gouley

Laurianne Gouley a abordé le monde de la photo en tant que modèle. Elle entame à 25 ans une carrière prometteuse de photographe avec un sens très maîtrisé de la composition et de la lumière. Au-delà d’une esthétique très soignée, ses images recréent par la force de la suggestion une vision fantasmée de l’univers du cirque et des bohémiens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Birgitte Pougeoise

Brigitte Pougeoise, photographe d’un grand nombre de compagnies de marionnettes, de théâtres d’objets et d’ombres, françaises et étrangères, a présenté son travail dans de nombreuses expositions, dans la presse et l’édition. Depuis 2003, elle a initié une recherche autour de la mise en scène de ses images qui passe par l’installation et la performance.

 

 

 

 

 

 

 

Marion Vercelot

Marion Vercelot, 23 ans, étudie la photographie à l’École des Gobelins après une première expérience dans le cinéma. Très éclectique, elle propose pour cette exposition une série de visages recouverts de matière, talc ou plastique, qui interfère avec la lumière pour proposer au spectateur des portraits totalement décalés.

 

 

 

 

Nadège Paineau

Les images de Nadège Paineau parlent du corps vibratoire :

De ce corps qui habite l’intérieur de l’anatomie corporel et qui résonne à l’extérieur de sa surface.

De ce qui se dégage du corps et qui résonne en lui-même.

De ce qui ne se voit pas et existe autour du corps.

Danseuse classique et contemporaine, Nadège Paineau est aussi chorégraphe pour la compagnie Flac Floc depuis 1999.

Costumière et scénographe autodidacte, elle se passionne très rapidement pour le corps et tous ses états ; visuel, en mouvement, expressif, sensible, affectif, traumatique et spirituel.

Nanda Lavaquerie

Depuis 2001, Nanda Lavaquerie photographie l’être humain.

Son monde fantastique et expressionniste, entre figuration et abstraction laisse à rêver et à se questionner. Transformation, matière, désir, rêve, imaginaire et âme sont ses mots.

En prise de vue directe, sans retouche numérique ni retouche sur le négatif, son travail artistique est exposé depuis 10 ans en France (A Paris : Galerie Tsenka, Galerie Daguerre…, à Bièvres : ou elle remporte le 1er prix du jeune Photographe en 2004, en Arles, à Cannes, à Strasbourg…), aux Etats-Unis à New-York : Galerie Art at Home et en Espagne à Barcelone : Galerie Homa.

 

 

Sarah Schmidt-Whitley

C'est à l'école supérieure des arts et technique (ESAT) qu'après une courte expérience dans le social que Sarah développe son gout pour la photographie et les arts picturals.

Un temps graphiste, elle se consacre maintenant à sa passion artistique et l'enseignement des arts plastiques.

 

 

 

 

 

Les photographes
de BleuVertRouge

Thierry Salard

"J'ai tout d'abord commencé la photographie en croisant le regard des enfants, les plus petits dans leur ébats de développement puis plus tard dans leur jeux, leurs activités. Dans toutes ces images, le regard était l'élément maître de la photo. L'enfant regarde l'objectif naturellement, ce que ne fait plus l'adulte. Après une période d'abstinence photographique, mon regard s'est tourné vers la capture d'un instantané du monde qui nous entoure, animal ou végétal mais aussi humain.

Dans cette série, je voulais regarder les visiteurs les moins ordinaires, ceux qui portaient une attention particulière aux tableaux, soit dans l'intensité soit dans la manière. Une autre façon de visiter une musée."

 

 

 

Raphaël Soret

 

 

 

 

 

 

 

Patrice Fautrat

Après des études scientifiques et techniques, c'est en 1979 que Patrice Fautrat entre dans le monde de la photo publicitaire. S'interressant tour à tour à la prise de vue technique puis au marqueting des matériels professionnels, ce n'est qu'en 1995, avec la création d'Envie d'Images et de BleuVertRouge que peu à peu la photo s'impose à lui comme moyen d'expression artistique.

Cette série "Couleurs sensuelles" ou peinture sur le corps et photographie sont intimement liés marque les prémisses de l'étape suivante ou la création va au delà de la simple prise de vue.

"Mes images sont l'expression ma facination devant la beautée mistérieuse et atirante du corps féminin."

 

 

 

 

Philippe V.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Roland Lagoutte

"Mon écriture – comme ma démarche photographique - est une exploration de mon trouble face à l’amour, face au réel, face au néant.
J'écris comme je photographie, à l’instinct, en déclinant ces trois thèmes de l’amour, du réel et du néant.
Je suis une émotion, les images surgissent comme un regard qui s’étonne de ce qu’il voit."

 

 

 

 

Pat-Alph Le Bihan

"Le diptyque est un ensemble composé de deux unités distinctes qui entretiennent une correspondance.

Dans mes diptyques : Eaux vives, Eaux plates. L' eau vive est en couleur, avec joie, jeux, insouciance. L' eau plate est en Noir et Blanc, avec rUigueur, réserve, isolement. L'eau plate stagne dans son réservoir sur les toits de Chicago, Clyopé déesse de l'eau la libère, puis descendant de son promontoire se métamorphose en "eau vive" créant de nombreuses fontaines."

Béatrice Thiebaut

Sept kinésithérapeute dans une maison de retraite, Béatrice Thiebaut a été profondément émue par la façon dont on considére les personnes âgées, aussi bien dans leur famille que dans cet établissement "adapté".

" J'ai voulu garder une trace de ces personnes qui ont maintenant disparu."